24 mars 2010
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18:09
quand on est malade, on est malade, ça s'appelle une lapalissade.
On n'est même pas cap... de rien... on a envie de pas grand-chose, et ... on passe la journée, au mieux, à somnoler; au pire, à somnambuler, à moins que ce ne soit l'inverse... on ne sent ni les heures, ni même sa propre peau. On a chaud, on a froid. On s'endort d'un coup et puis on se réveille trois heures après. Une gastro de rien du tout et voilà, il n'y a plus d'abonné au numéro... Il n'y a plus qu'un abruti au bout du fil, ahuri par la fièvre ou les comprimés, par les microbes qui grignotent le cerveau ou d'autres trucs à l'intérieur.
Oui c'est ça un abrutissement un ahurissement - comme n'être plus qu'un corps et rien d'autre.
Etre malade ça ressemble à une lapalissade : ça n'avance pas. c'est tout pareil. c'est comme ça. c'est tout. On va pas en faire une maladie.
On n'est même pas cap... de rien... on a envie de pas grand-chose, et ... on passe la journée, au mieux, à somnoler; au pire, à somnambuler, à moins que ce ne soit l'inverse... on ne sent ni les heures, ni même sa propre peau. On a chaud, on a froid. On s'endort d'un coup et puis on se réveille trois heures après. Une gastro de rien du tout et voilà, il n'y a plus d'abonné au numéro... Il n'y a plus qu'un abruti au bout du fil, ahuri par la fièvre ou les comprimés, par les microbes qui grignotent le cerveau ou d'autres trucs à l'intérieur.
Oui c'est ça un abrutissement un ahurissement - comme n'être plus qu'un corps et rien d'autre.
Etre malade ça ressemble à une lapalissade : ça n'avance pas. c'est tout pareil. c'est comme ça. c'est tout. On va pas en faire une maladie.