Une botte de paille, avec de la musique dedans. Cherchez l'aiguille ! au milieu du jaune, du brun et du vert qui reste, par endroits. Juste pour le plaisir. Plongez-y le nez, respirez fort et c'est le soleil qui pointe et qui s'échappe. Sandales aux pieds, épaules dégagées, l'odeur du foin sur tous les pores, dans les oreilles. Une brindille qui reste, là, dans le vent, dans les cheveux, cheveux d'or comme la roue, la roue qui tourne, comme le soleil, couchant, rouge, éclatant. Sauterelles invisibles, coccinelles coquettes, maquillées pour l'été, avoine à s'appliquer en crème, en baume, en masque de chaleur, de juillet.
Avant la nuit qui traîne à venir, dédaigneuse, le feu de bois s'allume, les sarments crépitent, le petit jaune, les crevettes grises, le sable et les boules. Tu pointes ou tu tires ?
Pascale la Tricotineuse 22/07/2010 23:05
Pascale la Tricotineuse 21/07/2010 18:59
Du mobilhome 22/07/2010 13:19
dominique boudou 20/07/2010 22:53
Du mobilhome 20/07/2010 23:26
brigitte giraud 20/07/2010 22:37
Du mobilhome 20/07/2010 23:26